Une cellule anti-harcèlements à l’Assemblée |
En 2019, j’ai été nommée rapporteure du groupe de travail sur les conditions de travail à l’Assemblée nationale. De ces travaux est née une cellule anti-harcèlements.
Le harcèlement est une réalité professionnelle dont n’est pas exempte l’Assemblée nationale. Jacqueline Maquet salue la mise en place de la cellule anti- harcèlements qui constitue une étape dans la lutte contre toutes les formes de violence au travail. L’engagement et la réactivité du Président Richard Ferrand sont des atouts nécessaires pour répondre aux enjeux auxquels sont confrontés notre institution.
Ce dispositif répond parfaitement aux préconisations du groupe de réflexion sur les conditions de travail à l’Assemblée nationale. Accessible en continu par téléphone et par internet, il permet de mettre en relation discrètement des experts indépendants et des personnels de l’Assemblée (agents et collaborateurs).
L’accompagnement psychologique et juridique les oriente efficacement dans leurs démarches. Conformément à ses engagements, le groupe de travail sera attentif à ce qu’une évaluation de la cellule soit réalisée pour s’assurer qu’elle offre une réponse adéquate aux victimes.
La cellule anti-harcèlements est une des propositions du troisième rapport du groupe de travail mis en place dans le cadre des Rendez-vous des réformes de ce mandat. L’amélioration des conditions de travail du personnel de l’Assemblée nationale nécessite un ensemble de mesures proposés par le groupe de travail : il sera vigilant quant à leur réalisation.
Mariée, un fils et une petite-fille, je suis Députée du Pas-de-Calais depuis 2007.
Au quotidien, je consacre toute mon énergie à défendre au mieux les intérêts des habitants et de nos communes, à Paris et sur le terrain.
